Entretien avec Lucie Montignies, communication sécurité chez l’Oréal : “La Diphotérine® est pratique et facile d’utilisation“
En charge de la communication liée à la sécurité au sein de l’Oréal, sur le site d’Aulnay-sous-Bois (93), Lucie Montignies nous raconte son vécu par rapport à la Diphotérine®, qui fait désormais partie du quotidien des salariés.
Prevor : Quelle est votre fonction au sein du Groupe l’Oréal ?
Lucie Montignies : Je suis à l’EHS d’Aulnay et ma mission première c’est la communication et la mise en place de la Diphotérine®.
Prevor : A quel moment avez-vous découvert la solution Diphotérine® ?
LM : En prenant mon poste, la Diphotérine® était déjà en place. On a commencé à faire des formations où l’on évoquait ce produit, qui répondait des besoins sur le terrain. J’ai pu voir l’efficacité fournie. On a 50 points, où l’on peut en trouver sur le site.
Prevor : Quels sont les avantages qui vous viennent à l’esprit au moment d’évoquer la Diphotérine® ?
LM : Le produit est pratique et facile d’utilisation. On organise des petites formations deux fois par an afin de montrer comment on peut décacheter le contenant de Diphotérine®. C’est ce qui est le plus dur : bien l’ouvrir afin de ne pas perdre de temps. Sinon, son utilisation est très simple : on l’applique sur l’œil, on laisse couler et on vide entièrement le flacon. Il n’y a pas de questions à se poser là-dessus.
Prevor : Avez-vous constaté des séquelles derrière ?
LM : La douleur a disparu rapidement mais l’œil était resté sec et rouge. On n’avait pas suffisamment d’encadrement pour comprendre pourquoi il y avait ce dessèchement, d’autant plus que certains hôpitaux ne savaient même pas ce que c’était comme produit.
« Maintenant, on connaît les bienfaits de la Diphotérine®. On a moins d’appréhension à l’utiliser. »
Prevor : La solution d’après-lavage, l’Afterwash II, n’a pas été appliqué à ce moment-là ?
LM : L’Afterwash est bien moins utilisé, il est en retrait. Quand on applique la Diphotérine®, immédiatement on évacue la personne à l’infirmerie donc des fois, il n’y a pas le temps de le mettre. Même quand il est appliqué, certaines personnes ont l’œil rougi.
Prevor : Les salariés d’Aulnay se sentent-ils rassurés de savoir qu’il y a de la Diphotérine® à proximité de leur poste de travail ?
LM : Oui, tout le monde connaît et sait ce que représente la Diphotérine®. Les formations ont beaucoup servi dans ce sens car avant, certains passaient devant sans s’en rendre compte. Leur réaction, c’était d’aller vers un point d’eau et de s’en mettre autant qu’ils peuvent. Maintenant, on connaît les bienfaits de la Diphotérine®. On a moins d’appréhension à l’utiliser.
Prevor : Quel protocole est mis en place si un salarié perd ses moyens et oublie les bons gestes ?
LM : Comme on a tous eu cette formation, les collègues réagissent très rapidement. Il n’y a pas si longtemps que ça, un incident est arrivé et la personne a été vite pris en charge comme il faut, sans séquelles derrière.
Prevor : Au niveau de la maintenance, la solution Diphotérine® est-elle bénéfique et moins coûteuse par rapport à l’eau ?
LM : Il faut changer les flacons de Diphotérine® tous les deux ans (date de péremption), je suis attentivement les boucles de renouvellement sur un tableau. Il y a des rondes de sécurité pour savoir s’il y en a suffisamment sur le site.